Qui laisse passer la lumière
bd critique chronique
Années 1970. Nous suivons les aventures, les joies et les doutes d’une fille seule.
Sa relation avec sa mère est compliquée. Mise au banc à l’école, elle passe son temps isolée la plupart du temps, du monde et des autres, cousant des poupées en chiffon.
Un jour elle croise la route d’un fantôme. Il lui apporte du réconfort et libère sa parole. Pourtant cela ne va pas sans contrepartie…
J’ai beaucoup aimé cette bande dessinée, poétique à souhait. De plus les dessins et les couleurs sont très agréables. Je recommande donc sans hésitation aucune.