Idéal
bd critique chronique anticipation société japon
Elle, pianiste. D’exception. Lui, fils. D’architecte de renom.
Elle, française. Lui, japonais.
Nul ne sait comment ils se rencontrèrent puis décidèrent de lier leurs vies.
Nous les trouvons dans une luxueuse maison, en 2160. À l’île de Kino. Seule du Japon à rejeter les androïdes qui pullulent ailleurs : concierges, entités à tout faire, caissiers et tous ces emplois jugés subalternes, peu valorisants.
L’île de Kino, où l’on peut encore se baigner dans l’eau non polluée, préservée des errements de l’humanité. Où l’on peut encore pêcher sans complément de synthèse ni équipement de protection contre les agressions de l’environnement, juste réaction aux nôtres.