Refuge - Lara Gasparotto
chronique livre photographie art
Il y a de ces photographes qui deviennent nos photographes. On les suit depuis leurs débuts. On semble vivre avec eux à travers chaque monographie ou exposition.
Je me souviens de la première exposition de Lara Gasparotto à Marchin en 2009. Son travail m’avait touché, mais d’une manière qui ressemble à nos propres rêves. Puis, on observe, du coin de l’œil, l’évolution de son œuvre… Il arrive que l’on se détache. Mais avec Lara, c’est différent. On ne la quitte pas.