Chronique - Fort Alamo
critique chronique roman humour société
Un grand sourire scinde mon visage. Mon humeur se veut légère, chantonnante. Des rayons de soleil s’échappent de mon cœur, malgré la nuit noire et la ville sans âme que j’habite.
Je viens de poser « Fort Alamo », le dernier roman de Fabrice Caro, plus connu sous le sobriquet de Fabcaro. Je l’ai lu quasiment d’une seule traite, tellement je l’ai trouvé jouissif.
Cela fait longtemps que je n’ai pas bu encre aussi savoureuse. Certes, ces temps-ci, je lis bien moins de romans qu’auparavant. Du moins, je les commence, sans les finir. Je les repose après 10, 20 ou 50 pages, parfois par lassitude, d’autres pour aller butiner d’autres fleurs, si ce n’est pas attiré par la facilité, le moindre effort de lire des bandes dessinées et autres romans dits graphiques.